lundi 17 mars 2014

Les casse-pieds sévissent encore (je l'avais prédit)

Ce matin, le même coup de fil que lundi. Avec les mêmes mots "mandatés par le service d'aide à l'accession à la propriété". Je demande à parler au superviseur - ce qui se traduit le plus souvent par la fin instantanée de l'appel. Mais là, surprise, on me passe une jeune femme à qui je dis mon horreur de ces méthodes et de ces mensonges. Cette jeune femme est assez peu courageuse puisqu'elle me dit que "(sa) collègue a du faire une erreur, nous ne sommes pas mandatés, nous représentons un groupement de promoteurs immobiliers".

Je lui ai répondu que c'était très peu probable, que deux personnes m'ayant tenu le même discours l'avaient lu sur leur conducteur, et que le mensonge était patent.

Quel dur métier, que celui qui vous oblige à mentir pour survivre, au dépends de personnes probablement pas mieux loties dans la vie que vous-même...

Mais, à coup sur, une vision terriblement dévoyée de la relation clients.

H

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